Michel Demeuldre nous raconte : le tango : avatars et conclusions

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Au terme de notre périple spatiotemporel au sein des berceaux locaux et des diasporas des valses et des tangos, en quête de réponses à nos questionnements, nous devons bien constater que nous avons surtout découvert…de nouvelles questions.

Mais à la différence des réponses qui ferment des portes et isolent, les questions titillent nos appétits de découvertes, sont propices aux échanges et aux élargissements des perspectives. Nous nous sommes interrogés sur « les ADN » des valses et des tangos du monde, mais les valses péruviennes, « el vals criollo » et les tangos finlandais ne sont-ils que des clones, des mutants ou des apparitions des formes originelles vierges comme les miracles de Lourdes, de Fatima ou autres ?

Et s’il s’agit « d’êtres » autonomes, quelles en sont les propriétés, les éthos, les fragrances ? Et bien sûr les questions sur l’avenir : Il y a-t-il une vie de la valse après Vienne et du tango après Buenos Aires ? La valse et le tango ont-ils une âme et ne risquent-ils pas de la perdre, dans le global village, en copulant, en se mixant et en se branchant sans frontières et donc sans peau. Un cœur peut-il vivre sans peau ?

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