Inti Illimani (Chili) en tournée en Europe

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les Chiliens d’Inti Illimani sont un groupe emblématique des années 70, moment où des mouvements révolutionnaires agitaient divers endroits de l’Amérique latine. Ils sont actuellement en tournée en Europe à l’occasion de la sortie de leur dernière production « Agua », un disque qu’ils ont enregistré avec la collaboration de Giulio Wilson, chanteur italien engagé.

Jamin’Jette 2023

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Anaïs et Lucie, chargée de com sur le festival Jamin’Jette viennent nous expliquer tout ce qu’il y a à savoir sur l’édition 2023 du sympathique premier festival de la saison quasi estival de Bruxelles !

Bonne écoute !

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Calypso #05 : la 4ème Oreille

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Quelques jours avant que cette série sur le calypso ne démarre, le journaliste musical collectionneur Marc Danval quittait ce monde. La RTBF et des dizaines de mélomanes regretteront longtemps la 3e Oreille, la dernière émission qui passait encore des vinyles et des 78 tours.

Marc Danval passait de nombreux styles mais pas vraiment de calypso. Toutefois, Alexis et Cyprien ont à cœur de lui rendre hommage avec cette émission 100% vinyle.

Sheikhs Shikhats & B’net Chaabi présente leur 1er album

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Elles sont courageusement venues à 4 représenter un groupe qui se compose en fait de 12 musiciens sous le nom de Sheikhs Shikhats & B’net Chaabi. Et nous avons passé un très bon moment ensemble dans l’émission de ce début avril. On s’imagine que les concerts sont du même tonneau, soyez attentifs aux prochains. Et que dire de l’album éponyme plein de fougue fantaisiste à partir de matériel traditionnel du nord du Maroc !

Elles nous offrent 2 minutes a capella en fin d’émission, merci!

Bonne écoute !

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La Guyane et Maufrais

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C’est sur les traces de R. Maufrais que nous abordons un aspect de la réalité guyanaise. Aventurier courageux qui a disparu au cours d’une expédition quasi en solitaire, dans les années 50, R.Maufrais a fait couler beaucoup d’encre. Parmi ceux qui se sont intéressés à son histoire, Geoffroi Crunelle, que nous avons à l’antenne (président de l’Association des Amis d’Edgar et Raymond Maufrais, ou A.A.E.R.M., basée à Toulon). Il nous explique quels sont ses liens à lui avec la Guyane et comment est né son intérêt pour cet aventurier qui a marqué la jeunesse d’après guerre. Le tout est agrémenté de morceaux qui reflètent la réalite musicale de cette enclave française en Amérique du sud.

ATTENTION…la premiere intervention tel. de notre invité est difficile d’écoute (cf probleme de réseau> nous l’avons retranscrite ci-dessous) mais les suivantes sont OK (car on est passé au tel. fixe)

RETRANSCRIPTION de la premiere intervention de Geoffroi Crunelle

Comme tu as précisé que c’était en France qu’on avait beaucoup parlé de cette affaire Maufrais, il faut préciser qu’en Belgique aussi il y a eu beaucoup d’échos de cette aventure, de cette exploration, puisque le journal « Le soir » en a parlé, « Le Soir illustre » aussi, et il y avait notamment le magazine « Spirou », qui présentait chaque semaine une BD qui était plutôt à caractère historique. Et donc, en 56, j’avais 5 ans à l’époque (comme ça vous connaissez tous mon âge !), j’habitais à Jette avec mes parents et mon frère, et j’ai découvert une BD (dans le journal « Spirou ») qui était consacrée à Raymond Maufrais. En réalité il y en a eu 3 : deux en 56 et une en 58, et c’est une de celles de 56 qui m’a vraiment marqué. En effet, cette histoire se terminait sur un point d’interrogation, car on parlait de la disparition de Raymond, et que son père, Edgar, était parti à sa recherche. Il était parti en 1954 et il commençait ses expéditions de recherche au Brésil, en Guyane. Et donc ça a été une sorte de flash, pour moi, et à partir de ce moment-là j’ai commencé à réunir des informations, à collecter des documents sur Raymond et Edgar Maufrais, sur ses expéditions de recherche, et, de fil en aiguille, sur la Guyane. Donc je me suis intéressé effectivement à ce département. J’avais envie d’aller y vivre, pas nécessairement de refaire le trajet de Maufrais, car je n’avais pas vraiment de capacité ou d’envie de faire de l’exploration dans la jungle. Mais j’avais comme objectif d’aller vivre chez les Indiens de Guyane (un objectif que j’avais à mes 18 ans). Il y avait un certain André Cognat, qui au début des années 60 avait obtenu une bourse Zellidja pour aller en Guyane, mais il a chaviré et a été recueilli par des Indiens quelques temps. Puis il y est retourné en 1964 et il y est resté toute sa vie. Il a créé un village, fondé une famille, et il a vraiment réalisé son rêve, c’est-à-dire de passer toute sa vie chez les Indiens.

Aymeric: pardon Geoffroi, de qui parlais tu ?

De André Cognat, un ouvrier métallurgiste de la banlieue de Lyon, et qui partait comme ça pour un voyage précis d’un mois ou deux, et qui, suite à son accident sur le fleuve a été recueilli par des Indiens, mais il a eu un coup de foudre, et a donc eu l’idée de passer toute sa vie avec ces Indiens du sud de la Guyane.

Voilà, ça c’est un petit peu ce que j’avais envie de dire (pour mieux éclairer le contexte), et donc en 1971, je suis parti là-bas pour essayer d’y trouver une solution professionnelle ; j’ai pu aller travailler comme instituteur chez les Indiens Palikours, au nord du fleuve Oyapock, qui fait frontière avec le Brésil, donc à l’Est de la Guyane. Ça a été une expérience qui n’a pas pu se poursuivre. J’ai fait après des études d’agriculture tropicale, en Belgique, à Ath, et en 1974 j’y suis retourné, à Saint-Laurent-du-Maroni cette fois, côté Surinam, à l’ouest de la Guyane. J’y suis resté quelques mois et ai tenté de créer une exploitation maraîchère mais ça n’a pas marché non plus. Une troisième fois, je suis allé avec ma femme et mes enfants, (je me suis marié, en Guyane en 1972, avec ma femme, qui est belge). Ils m’ont accompagné lors de ce 3ème séjour, et donc, entre 1977 et 1978, on a vécu à Maripasoula, avec nos deux enfants, j’y étais technicien agricole tropical. Voilà. Ça a été mon bref parcours en ce qui concerne la Guyane (parce qu’il y en a eu d’autres). Mais j’ai fait en gros trois séjours plus ou moins long en Guyane.

C’est la Bolchevita dans l’Attirail

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Après avoir fait escale en Slovénie, Hongrie et République tchèque lors de ses 3 premiers volets en 2022, la caravane « East but not last » partagera cette fois son goût immodéré pour la « Bolchevita« , en compagnie de L’Attirail, formation hexagonale hors normes dépoussiérant les riches traditions musicales populaires d’URSS et de ses satellites à travers ses 4 premiers albums, publiés entre 1996 et 2002

Calypso #4 les « pendules à l’heure »

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Cette quatrième émission de la série est un voyage temporel qui passe en revue l’histoire des enregistrements, les principaux pionniers et les morceaux qui marquèrent l’histoire, voire la préhistoire du Calypso

 

Films et musiques du monde

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Dans cette émission nous passons en revue quelques films (majoritairement documentaires) qui mettent en scene des musiciens de divers endroits du monde, depuis le fameux « Buena Vista Social Club« , qui a ouvert des portes sur le monde des musiques, au « Massilia Sound system -Le film« , qui suit le parcours de ces artistes et leur combat pour une culture, ouverte et métissée

 

Calypso #03 Carnaval et percussions

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Un rapide panorama de l’historique du Carnaval à Trinidad&Tobago, et des percussions dont il est indissociable, notamment le développement du pan, instrument des steelbands fabriqué à partir de bidons, mais aussi les ‘riddim sections’ qui les accompagnent (ou pas), et un détour par la tradition des tassa drums, même si ceux-ci ne sont pas à la base un élément du calypso.

Général Alcazar: « je me suis construit une culture des voyages* »

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Patrick Chénière, la personnalité derrière Général Alcazar est décedé fin 2013. Quelques projets discographiques étant alors en cours, c’est l’association « Les amis du Général Alcazar (Laga) » qui s’est chargée de les mener à terme. Mais ils ne se sont pas arrêtés là, se lancant aussi dans la production de t shirts, l’organisation d’événements, et même un partenariat avec un musée, à Sète, pour faire vivre des objets qui avaient appartenus à Patrick. Rétrospective. Et échange avec Sophie, de LAGA.
*Citation de Général Alcazar extraite d’un article de Stéphane Davet (pour « Le Monde »)

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